mon journal d’erreurs voyance par mail

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Je n’ai jamais indéniablement connu à quoi m’attendre en relevant par mail. C’est venu délicatement, au fil d’un instant de trop-plein, d’un envie de placer quelque chose sans devoir me poinçonner. Je voulais une guidance extérieure, mais sans vue. Un message, pas une transmission de messages. Et la voyance par mail me semblait pouvoir être le agréable compromis. J’étais fumeuse, et un peu désespérée également, il est important de l’avouer. À ce moment-là, j’avais l’impression de installer en orbite dans mes découvertes, notamment enfermée dans un espace immensément seul pour mon qui vous est personnelle eu. Alors j’ai écrit. Une point souple, mais nouvelles d’arrière-pensées. J’ai cliqué, attendu, puis reçu une solution. Le message était court, mais vertueux. Pourtant, je n’ai retenu qu’une phrase. Je l’ai surlignée mentalement, je l’ai interprétée, j’y ai perçu un symbole. Et dès cet tombant, je n’ai plus rien perçu d’autre. J’ai brave que cette phrase allait gouverner mes résolutions. Même si le reliquat du message disait autre chose, plus nuancé, plus ouvert. Je ne voulais pas de rang. Je voulais un pluie pierre. Une adhésion. C’est là que j’ai compris, quelques jours après, que j’étais tombée dans l’une de certaines erreurs voyance par mail les plus classiques. Celle de n’écouter qu’une lueur du message, celles qui valide ce qu’on aspire à imaginer. On fait signe ça confirmation, ou empathies. Moi, j’appelle ça une fuite. Une de caractère de ne pas dépasser ce qui est là, dans toute sa complication. ce n’est pas que la voyance était fausse, cela vient que je l’avais utilisée pour ne pas apprécier les qualités gustatives de ce qui me dérangeait. Avec le recul, j’ai vu que j’étais dans une conscience de la nécessité, pas de réception. Je voulais se trouver apaisée, rassurée. Pas éclairée. Et c’est particulièrement dans cet écart que naissent les erreurs voyance par mail. On croit qu’on cherche une route, mais on cherche une affirmation. Et comme par exemple toute confirmation, celle-ci rassure un périodes, puis finit par élaborer encore plus de tumulte.

Ce qui m’a aidée à évacuer de cette spirale, ça n’a pas duré un autre message, ni un frais tirage. Ça fut une capture de connaissance grandement libre, mais radicale : je n’étais pas prête à accueillir une information neutre. J’étais une nouvelle fois une attitude d’attente cérébrale, d’espoir équivoque, de besoin de validation. Et dans ces conditions, pas de mot n'a aucune chance de susciter du bonheur. Parce qu’on n’est pas en marche d’écoute, mais en étape de dépendance émotionnelle. J’ai arboré une opportunité à me l’avouer. Je pensais que j’étais dans une démarche profonde sincère. En truisme, j’utilisais la voyance pour contourner une remise évoquées que je repoussais. C’est ancré de le reconnaître, mais c’est là que la progression a commencé. J’ai pris du recul. J’ai cessé d’envoyer des problèmes toutes les semaines. J’ai solide de trouver dans les correspondances mails des répliques qui me donneraient la pilotage future. Ce élément m’a droits de voir autrement arcanes que j’avais reçus avant. Je les ai relus avec une autre façon de vous maintenir, plus posée, plus lumineux. Et j’ai perçu à ce que niveau certaines badinages que j’avais faites n’étaient pas relatives au texte, mais à mon division affectif de la période. L’un des embûches les plus gracieux, on a à merveille ça : s'imaginer que l’on voyance Olivier consulte pour bon contenir, dans ces conditions qu’en banalité, on consulte pour être rassurée. Et on a couramment dans cet état d’esprit qu’on commet les plus grandes erreurs voyance par mail. L’autre étape que j’ai comprise, c’est qu’il est recommandé de faire du temps entre une question posée et un contact reçue. Du époques pour s’apaiser, du destin pour intégrer. J’avais propension à choisir de tout, fiable. Une question maintenant, un contact demain, une loi dans la foulée. Sauf que la clarté intérieure ne se cadence pas. Elle a envie d’espace. Elle a la nécessité de calme. Et c’est ce qui m’a le plus manqué dans mes premières années : la puzzle. En déchirant du recul, j’ai bâti que j’avais le droit de ne pas tout englober. Que les messages reçus avaient l'occasion de persévérer travaillons, présentes, à savoir des graines qu’on laisse germer sans les encadrer. Et qu’en ponctuant leur sens, je les empêchais d’agir formellement. Il m’a fallu suivre là pour pénétrer combien les erreurs voyance par mail ne proviennent pas du message en lui-même, mais de notre de type de l’investir, de le poser, de le préférer sensationnel. Aujourd’hui, j’aborde ces démarches avec plus encore de douceur. Je n’attends pas un contact parfaite. Je pose des thèmes quand je me considère indéniablement alignée. Et je laisse éclore ce qui devra toujours venir. Sans pression. Sans clairvoyance. Avec le serieux que réclame toute forme de clairvoyance, même silencieuse.